Arsenal Football Club

Tout sur Arsenal Football Club

Surnom: Gunners

Site Web: http://www.arsenal.com/home

Date de fondation 1er mai 1886

Couleurs: rouge, bleu et blanc

Stade Emirates Stadium



L'emirates sous la neige

Palmarès :

Championnat d'Angleterre (13) :
Champion : 1931, 1933, 1934, 1935, 1938, 1948, 1953, 1971, 1989, 1991, 1998, 2002 et 2004.
Vice-champion : 1926, 1932, 1973, 1999, 2000, 2001, 2003 et 2005.
Troisième: 1937, 1952, 1959, 1981, 1997, 2008 et 2010.
Championnat d'Angleterre de D2 :
Vice-champion : 1904
Community Shield (12) :
Vainqueur : 1930, 1931, 1933, 1934, 1938, 1948, 1953, 1991, 1998, 1999, 2002 et 2004.
Coupe d'Angleterre (10) :
Vainqueur : 1930, 1936, 1950, 1971, 1979, 1993, 1998, 2002, 2003 et 2005.
Finaliste : 1927, 1932, 1952, 1972, 1978, 1980 et 2001.
Coupe de la ligue (2) :
Vainqueur : 1987 et 1993.
Finaliste :1968, 1969, 1988 et 2007.


Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe (1) :
Vainqueur : 1994.
Finaliste : 1980 et 1995.
Coupe de l'UEFA :
Finaliste : 2000.
Coupe des villes de foires (1) :
Vainqueur : 1970.
Ligue des champions :
Finaliste : 2006.
Supercoupe de l'UEFA :
Finaliste : 1994.


Highbury, était le stade de l'Arsenal Football Club, localisé à Londres. Les Gunners ont joué à Highbury de 1913 à 2006.

Le maillot du 125e anniversaire

Voici la photo du prochain maillot d'Arsenal prévu par Nike avec le communiqué de presse pour l'expliquer: ''Le maillot domicile d’Arsenal pour la saison 2011-2012 comporte un nouveau blason célébrant le 125ème anniversaire du club – et se tourne vers un nouveau chapitre comme étant le maillot de club le plus respectueux de l’environnement que Nike n’est jamais réalisé. Crée à Woolwich en 1886 et dénommé le Royal Arsenal, le design du blason pour cette célébration est une combinaison du premier blason du club avec la version actuelle dans un blanc immaculé, il porte également les dates d’anniversaire de 1886 et 2011 sur le cœur du maillot.''

La maîtresse de Wilshere




Jack Wilshere (18 ans) est l'un des futurs talents du football anglais. Celui qui crève actuellement l'écran avec Arsenal fait aussi parler son talent hors de terrains de football.

En couple depuis 3 ans avec Lauren Neal, le petit prodige du football anglais a dérapé. Les tabloïds anglais n'ont pas loupé l'affaire. L'heureuse élue s'appelle Jessica Jensen, spécialiste de lap dance à ses heures perdues.

Jack Wilshere a supplié sa maîtresse ne pas ébruiter l'affaire. Loupé ! Comme quoi, c'est le métier qui rentre...

Arbitres : Wenger propose... le tirage au sort

Arsène Wenger a une idée simple pour pacifier le climat autour des arbitres : les tirer au sort et ne pas communiquer leur identité au club avant le jour du match. Même si cela ne règlerait pas la question de l'après-match, le coach d'Arsenal a défendu son projet vendredi.

Au départ, c'était une conférence de presse autour d'Arsenal - Aston Villa. Mais l'enjeu pour les deux équipes étant assez peu dramatique, Arsène Wenger a fini par passer beaucoup de temps sur... la meilleure façon de pacifier le climat autour de l'arbitrage. "Pour moi, on ne devrait pas connaître le nom de l'arbitre avant le match. Son nom devrait être tiré au sort 48 heures avant et personne ne devrait savoir qui arbitre qui. Comme ça, il n'y aurait aucun problème."

Le "problème" sur lequel Wenger a rebondi, c'est la poursuite pour mauvaise conduite d'Alex Ferguson. La FA a estimé que l'Ecossais avait enfreint les règles en tenant des propos positifs sur Howard Webb avant MU - Chelsea ! "Après les matches, je peux comprendre que l'entraîneur ait besoin d'exprimer son avis, parfois la frustration est trop grande. Mais avant, vous ne m'avez jamais entendu faire ça. Avant, on devrait donner à l'arbitre toutes les chances de rentrer dans son match avec les idées claires et sans la moindre pression."

Quand les journalistes lui ont fait observer que cela pouvait poser des problèmes logistiques, et créer des suspicions si des arbitres "proches" d'un club géographiquement étaient désignés, Wenger répondu : "On peut imaginer de les exclure du tirage au sort, mais je pense toujours que ce serait la meilleure façon." Le manager d'Arsenal ne cantonne pas son idée à la Premier League. "Il devrait en être ainsi partout en Europe. On a vu les problèmes posés par l'avant-match de Barcelone - Real Madrid." On attend l'avis de José Mourinho sur la question.

Wenger réagit aux accusations

Arsène Wenger a réagi suite aux accusations de son ancien joueur Paul Merson, qui avait raconté s'être fait injecter des substances inconnues lors de la saison 1996-1997.

Suite aux déclarations de Paul Merson, qui avait déclaré dans un entretien au magazine So Foot avoir reçu des injections de produits inconnus lors de la saison 1996-97 à Arsenal, le coach des Gunners a réagi. Arsène Wenger nie toute présence de substances illicites au sein du club. « Je ne peux pas prendre cette déclaration au sérieux, a répliqué le coach français. Je ne sais pas combien de joueurs ont évolué à Arsenal depuis 15 ans, peut-être 200, et certains sont restés 10 ans, donc je pense qu'il serait mieux que vous interrogiez des joueurs qui sont restés 5, 6, 7 ou 10 ans ici pour savoir comment on se comporte à l'infirmerie. (...) S'il existe un joueur à qui j'aurais dit de prendre quelque chose, amenez-le moi en face. Si on leur donne quelque chose, c'est des vitamines diverses, du magnésium, du calcium ou de la vitamine C. Chaque année, on subit au moins vingt contrôles anti-dopage. En 15 ans, aucun n'est ressorti positif. Alors vraiment, vous croyez qu'Arsenal essaie de doper ses joueurs ?»

Benzema OK pour Arsenal

Karim Benzema veut quitter le Real Madrid. C’est en tout cas ce qu’assure Metro. Arsenal est intéressé par l’attaquant, qui serait heureux de rejoindre la Premier League. Le Tricolore n’a pas le temps de jeu dont il a besoin, à un an de l’Euro. Il aimerait donc porter le maillot des Gunners, qui devront vraisemblablement remplacer Marouane Chamakh et Andrei Arshavin, sur le départ. Les dirigeants anglais sont disposés à offrir 25 millions à Florentino Pérez. Les négociations s’annoncent dures, sachant que le Président a refusé 30 millions d’euros de la part de la Juventus Turin.

Wenger et les arbitres secrets

Afin d’éviter toutes réclamations à l’issue des matchs, le coach d’Arsenal Arsène Wenger souhaite garder secrete l’identité des arbitres avant la rencontre.


Arsène Wenger propose des solutions afin de réduire les réclamations auprès des arbitres. L’entraîneur d’Arsenal émet notamment l’idée de garder l’anonymat des arbitres avant la rencontre. « Je crois qu'on ne devrait pas connaître le nom de l'arbitre avant le match. Cela devrait être un tirage au sort 48h avant, et personne ne devrait savoir qui arbitre quel match », propose-t-il dans la presse anglaise.

Tasci sur les tablettes

Serdar Tasci, le défenseur central du VfB Stuttgart, serait toujours pisté par Arsenal.

Selon le quotidien anglais Daily Star, Arsenal aurait un regain d’intérêt pour le défenseur central international allemand Serdar Tasci (24 ans, VfB Stuttgart), dont le contrat expire en juin 2014.

Fin de saison pour Fábregas

Fin de saison pour Cesc Fábregas ! Le milieu de terrain est blessé à la cuisse. Le joueur sera absent durant quatre semaines. Il manquera ainsi les derniers matches de Arsenal, ainsi que les rencontres amicales de l’Espagne face au Venezuela et aux États-Unis.

Wenger, une mauvaise affaire pour Arsenal ?

L’Alsacien ne contrôle plus vraiment le vestiaire et ses "boys" continuent de dégringoler au classement. Dimanche, la défaite à domicile contre Aston Villa a mis les Gunners en fâcheuse posture. Arsenal pourrait quitter le podium et être renvoyé vers le tour préliminaire de la LDC. Voilà qui ne rehausse pas vraiment le prestige de Wenger, déjà fragilisé par des rumeurs de dopage dans les années 90. Le "French Flair" a t-il fait son temps du coté de l’Emirate? C’est très probable.

Pour la première fois depuis son arrivée, il y a une quinzaine d’années, et plus précisément depuis le 30 septembre 96, l’entraîneur français d’Arsenal doit faire face à de très vives critiques de la presse londonienne pour le manque de réussite de son club. Il y a trois semaines, en s’inclinant 2-1 à Bolton, les Gunners perdaient toute chance de remporter le titre de champion cette saison. Il comptait neuf points de retard sur le leader Manchester United à quatre journées de la fin du championnat et plus personne alors ne croyait au miracle. La suite a prouvé ce que l’on pressentait déjà depuis longtemps. Arsenal est une équipe banalement surcotée, sans ressort, incapable de faire face à l’adversité. Entre-temps, Arsenal a certes battu Manchester 1-0, mais a perdu ensuite deux matchs coup sur coup contre Stoke et surtout Aston Villa, deux équipes du milieu de tableau, qui n’ont rien de foudres de guerre. Le match de dimanche a d’ailleurs montré les limites de ce collectif: Nigel Bent a marqué deux buts dans les 20 premières minutes. Arsenal n’a réduit l’écart qu’en fin de match montrant le visage d’une équipe quelconque.

Désormais, les Gunners ont 10 points de retard sur le champion, et le dernier match à venir, un énième derby Londonien contre Fulham dimanche prochain, ne présage de rien de bon. Manchester City qui a encore deux rencontres à jouer avec la réception de Stoke ce mardi, et un déplacement à Bolton pourrait prendre la 3éme place directement qualificative pour la LDC à Arsenal. Critiqué notamment par d’anciennes figures du club dont Paul Merson, Wenger continue de développer le même discours, emprunt de mièvrerie et de langue de bois. Il a encore salué la performance de ses joueurs et assumé le bilan négatif de ses troupes qui n’ont rien remporté depuis maintenant 6 ans.Il n’a pas retrouvé ce fameux "Back Four", la ligne défensive composée de Lee Dixon, Tony Adams, Steven Bould et Nigel Winterburn qui faisait la force d’Arsenal dans les années 90. «S’il faut accuser quelqu’un, c’est moi. Je forme l’équipe. Je choisis les joueurs. J’ai le sentiment que les joueurs ont eu une attitude remarquable cette saison. Ils ne sont pas à blâmer» note Wenger. Admiré pour son jeu de passe légendaire, la technique de son milieu de terrain, Arsenal peche comme toujours pour conserver un résultat, et ne sais pas profiter des relâchements des autres prétendants au titre. Depuis les départs d’Henry, Vieira et Pirès, l’équipe n’a plus de joueurs expérimentés de haut-niveau. Son manque d’impact physique au milieu étonne, tout comme le relatif détachement de ses joueurs qui ne semblent pas très concernés par les objectifs à venir. Ce fut le cas le 5 février dernier, où Arsenal a mené 4-0 sur la pelouse de Newcastle avant de se faire rejoindre (4-4). Contre Tottenham, les coéquipiers de Nasri ont mené de deux buts mais ont finalement concédé le nul 3-3. A l’aller, ils avaient menés 2-0 pour finalement s’incliner. Arsenal s’est montré également incapable de battre Sunderland (0-0) et a raté sa finale de League Cup en concédant une surprenante défaite contre Birmingham.

Longtemps intouchable dans le football anglais pour avoir apporté technique, préparation et panache à la formation londonienne, le technicien français subit désormais des critiques acerbes et un droit d’inventaire de certains anciens. «Si vous interrogez les supporteurs d’Arsenal, vous verrez que la majorité d’entre eux sont prêts à se passer d’un football fluide et plaisant à voir, pour obtenir des résultats», estime ainsi Perry Groves, ailier du club entre 1986 et 1992. Pas question cependant de retrouver l’Arsenal pathétique du début des années 80 de George Graham qui gagnait ses matchs dans l’ennui général. Mais pour les supporters de Wenger, il faut retrouver de la solidité défensive. «Ils ont besoin d’un arrière central, d’un organisateur», analyse ainsi l’ancien attaquant Paul Merson. «Il ne s’agit pas de tout chambouler, juste de procéder à des réglages ici ou là.» Dans "la Nouvelle-République du Centre-Ouest", l’entraîneur de Tours et ancien adjoint de Wenger à Nagoya, Daniel Sanchez, ne disait pas autre chose réclamant «2 ou 3 grosses pointures expérimentées pour encadrer un collectif très jeune et passer le dernier cap». Mais Sanchez ajoute: «Il (NDLR: Wenger) prône le jeu vers l’avant, le mouvement dans une organisation très pointue. On le critique, mais quelle équipe au monde lance autant de jeunes? Cela reste un modèle.» Message reçu cinq sur cinq par l’entraîneur. «Nous n’avons pas été suffisamment stables défensivement. Cette semaine, nous avons concédé six buts, à un moment où on ne peut pas se permettre de prendre six buts en trois matches et gagner le championnat», a concédé Wenger, qui ne renonce pas à son credo. «Je suis convaincu que notre équipe pratique un bon football. Si vous parvenez à me convaincre que ces principes ne sont pas bons, je suis prêt (à changer). Mais je pense que nous tentons de jouer au football de la manière qu’il faut», ajoute-t-il.

Wenger, à qui certains supporters ont reproché de ne pas avoir remplacé au mercato d’hiver le défenseur central Belge Thomas Vermaelen, blessé, va probablement faire de l’acquisition d’un arrière axial expérimenté la priorité de son intersaison. Cette fois-ci, ce joueur n’aura pas le profil d’un Vermaelen ou d’un Koscielny. Il faudra qu’il dispose des mêmes qualités qu’un William Gallas, qui n’a jamais été vraiment remplacé dans les rangs des Gunners après son départ à Tottenham. Selon la presse anglaise, Wenger devrait disposer à cet effet d’un budget recrutement de plus de 45 millions d’€. De quoi envisager l’arrivée de Karim Benzema, s’il accepte de venir. La deuxième priorité consistera aussi à garder les stars. Lasses de ces saisons sans le moindre titre, elles pourraient décider, en effet, de plier bagage. Samir Nasri dont la prolongation de contrat s’éternise, est très courtisé par le Bayern Munich qui aurait proposé de racheter la dernière année du prodige Marseillais pour 30 M€. Il est vrai qu’il est considéré comme l’un des meilleurs joueurs de la Premier League. Mais après des débuts fulgurants, quelques buts somptueux et nombre de passes décisives, le numéro 8 a effectué des prestations très moyennes en 2011 qui laissent planer le doute sur son niveau réel. Faut-il le garder à tout prix, ou bien au contraire, le vendre pour récupérer quelques sous dans l’opération? C’est le dilemme des Gunners, comme l’a expliqué encore récemment Wenger dans le Daily Mirror. «Le but premier n’est pas d’affaiblir notre équipe, mais bien de l’améliorer. Nous sommes confiants, mais nous allons attendre la fin de saison. Je ferai tout mon possible pour qu’il reste, mais je refuse de divulguer le contenu des conversations que j’ai avec les joueurs. En tout cas, nous mettrons un point d’honneur à respecter notre politique en termes de salaires. Le Fair Play financier va entrer en vigueur, et dans la mesure où je sais que Chelsea et Manchester City ont voté pour, j’espère bien qu’ils vont le respecter».

C’est dans ce contexte d’orthodoxie financière que Robin Van Persie et Cesc Fabrega pourraient aussi prendre la clef des champs. A moins que Wenger ne décide lui aussi de s’en aller, estimant avoir fait son temps à Londres. Encore farfelue il y a quelques mois, l’idée semble faire son chemin dans l’esprit du manager français. On pourrait aussi le pousser à partir. En effet, l’arrivée du nouveau propriétaire américain Stan Kroenke a déjà entrainé des dégâts collatéraux dans les couloirs d’Arsenal. Selon Sky Sport 24, la direction du club aurait déjà contacté en grand secret Carlo Ancelotti, qui s’apprête à quitter Chelsea. Peu pressé de rentrer en Italie malgré les avances de l’AS Roma, l’ancien entraîneur du Milan AC aurait confié ne pas être contre un séjour court à l’Émirate Stadium. Une autre affaire a été estimée très dommageable pour l’image d’Arsenal. Elle concernerait des accusations de dopage proférées par Paul Merson dans l’édition de mai de So Foot. Selon ce dernier, des injections de substances étaient régulièrement pratiquées dans les années 90 et les joueurs prenaient de la créatine à l’entrainement. Chose que Wenger a démenti: "Je ne peux pas prendre cette déclaration au sérieux. Je ne sais pas combien de joueurs ont joué ici depuis quinze ans, deux cent peut-être, certains sont même restés dix ans. Paul Merson n’est resté que quelques mois, donc je crois qu’il serait mieux que vous demandiez à ceux qui ont joué cinq, six, sept, huit, neuf ans ici comment on se conduit médicalement parlant (...) Si vous trouvez un joueur à qui j’ai demandé de prendre quelque chose, amenez le moi. Si nous donnons quelque chose ce sont des multivitamines, du magnésium, du calcium ou de la vitamine c, comme partout (...) Tous les ans, nous subissons au moins vingt contrôles antidopage, et en quinze ans nous n’avons jamais eu un contrôle positif (...) Il est totalement ridicule d’émettre le moindre soupçon sur la façon dont nous traitons les joueurs et dont nous respectons leur santé ".

Wenger sera t-il encore aux commandes d’Arsenal la saison prochaine? Le board attend naturellement le dernier match de la saison contre Fulham pour se prononcer, histoire de maintenir une pression jusque là inégalée sur son manager. Rien ne dit cependant, que ce dernier ait vraiment apprécié la manœuvre. Un divorce n’est plus à écarter.Car Wenger aurait reçu lui aussi des propositions très intéressantes émanant de la France et de l’Allemagne. Il serait ainsi très courtisé par l’Olympique Lyonnais, un autre club en crise, qui ne gagne plus rien depuis des années. Reste à savoir si l’idée d’un retour aussi prématuré en France saura le séduire? Et si Lyon aura les moyens de s’aligner sur ses prétentions salariales? Enfin, le fait de quitter un championnat aussi prestigieux que la Premier League pour la triste Ligue 1 reste problématique. Surtout, quand on se veut un entraîneur passionné, et encore, dans le vent...!

Cahill "optimiste" quant à son arrivée

Le défenseur international anglais de Bolton, Gary Cahill, aurait affirmé à ses proches être "optimiste" quant à son arrivée à Arsenal cet été.

Arsenal tient-il sa première recrue défensive ? Si on en croit le Daily Mirror, l'international anglais de Bolton, Gary Cahill, serait proche de rejoindre les Gunners. Le défenseur aurait déclaré à ses proches être "optimiste" au sujet de son transfert cet été. Les deux clubs doivent désormais se mettre d'accord sur une indemnité de transfert pour le joueur arrivé chez les Wanderers en janvier 2008 en provenance d'Aston Villa.

Arshavin vers la sortie ?

Selon le Guardian, le meneur de jeu russe Andrei Arshavin, qui réalise une saison très moyenne, pourrait quitter Arsenal cet été contre quinze millions d’euros.
Arsenal prépare déjà la saison prochaine sur le plan du recrutement. Andrei Arshavin pourrait faire ses valises selon le Guardian. En proie au doute depuis le début de l'exercice 2010-2011, le Russe ne réalise pas la meilleure saison de sa vie. Une évidence qui n’a pas échappé à Arsène Wenger. L’entraîneur français se serait résolu à vendre le meneur de jeu russe contre quinze millions d’euros. Le Zénith Saint-Pétersbourg serait prêt à faire revenir le joueur deux ans et demi après l’avoir vendu à Arsenal.

Wenger insiste pour Fabregas

Le manager des Gunners d'Arsenal se trouve dans une situation délicate. En bouclant une sixième saison sans titre, Arsène Wenger s'expose aux critiques de la presse d'outre-Manche et aux velléités de départ de certains de ses joueurs. En premier lieu, Cesc Fabregas, encore et toujours désiré du côté de Barcelone. Dans une déclaration, relayée par la BBC, l'ancien entraîneur de l'AS Monaco défend sa volonté de conserver son capitaine: "Vous devez toujours vous battre pour conserver un joueur de cette qualité. Qu'est-ce qui te garanti que tu gagneras des trophées si tu pars autre part ? La plus grande fierté d'un capitaine est d'être lié à son club et de lui apporter des titres. Un joueur qui change de club chaque fois qu'il est frustré, ou dès qu'il ne gagne pas un trophée, n'ira nulle part. Je crois que la qualité du sport c'est d'être lié au club, et ne pas s'en aller lorsque cela ne va pas aussi bien que ce vous attendiez".

Denilson - Il manque quelque chose à cette équipe

Denilson essaye d’expliquer une saison encore faite de désillusions et sans trophée. Pour lui, la finale de la Carling Cup a été le tournant de la saison. Un match que les joueurs Arsenal n’ont jamais su s'en remettre. Ne gagnant que 3 matchs sur les 13 suivant et seulement 6 points pris en championnat, à un match de la fin de la saison, Arsenal est passé de la seconde place à la 4ème.

« Il y a quelque chose qui manque à Arsenal mais personne ne sait quoi. Ni le manager, ni les joueurs – personne.

Manchester United, Manchester City, Chelsea, Liverpool dépensent des millions en transfert chaque saison. Mais on est toujours la meilleure équipe de football du pays, on joue un football magnifique. Seul Barcelone fait mieux. Mais on ne gagne pas de trophée.

C’est si frustrant, vous ne pouvez pas imaginez à quel point. Arsenal est un grand club, on a un grand manager et tant de joueurs talentueux. On devrait collectionner les trophées. Il n’y a pas d’excuses.

Certains disent que c’est parce qu’on est trop jeune et naïf – mais ce n’est pas une excuse. On a pas perdu la finale de Carling Cup face à Birmingham parce que l'on était trop jeune. On a perdu notre confiance, on s’est effondré complètement quand Obafémi Martins a marqué. C’était une finale qu’on aurait du gagner, on était favori. C’était l’occasion de faire taire toutes les critiques. Un trophée pour fermer le clapet à tous après 5 ans – ça allait être le premier de beaucoup d’autres.
Ça nous aurait donné un boost. Surtout qu’on était en bonne position dans toutes les autres compétitions. Le quart de finale en FA Cup, quart de finale en Champions League et deuxième en championnat. C’était là et on était si motivé. Mais quand Martins a marqué, tout était fini. Vous pouviez le voir dans les yeux des joueurs et des supporters présents à Wembley. Notre confiance est partie et on ne l’a jamais retrouvée. Ce fut une catastrophe.

C’est à ce moment où notre saison a été ruinée, il y a eu un effet domino et personne ne pouvait l’arrêter. Je suis rentré chez moi après et j’ai juste pleuré. J’étais très fâché, très triste et j’avais honte.

Après Birmingham, le boss nous a dit de garder la tête haute et a souligné qu’il y avait encore plein de choses à jouer. On avait le Barça et United qui arrivaient et nous étions encore en course pour le titre. Mais malgré le fait qu’on soit entré dans ces matchs en croyant toujours qu’on pouvait les gagner, ce n’était pas suffisant. Depuis ça, tout est parti de travers.

Je me souviens mener 1-0 contre Liverpool et ils ont marqué à la dernière seconde. On menait 4-0 à Newcastle mais on a fait match nul. On a aussi perdu à domicile contre Newcastle, West Brom, Aston Villa. Lâchez des points à Sunderland et contre Blackburn à l’Emirates. Soyons honnêtes, certains de ces matchs étaient choquants, honteux. On est meilleur que ça. Mais tant qu’Arsenal n’arrêtera pas de perdre des points bêtement, rien ne changera.

Tous les joueurs sont blessés mais on sait que les supporters souffrent même plus que nous. Et plus que tout, Arsène Wenger souffre énormément et ça me rend triste car c’est un grand homme et un grand manager. »

Arsenal réclame 68 millions d'euros pour Cesc Fabregas

Les dirigeants d'Arsenal ont fixé le prix de vente de leur milieu de terrain espagnol: 68 millions d'euros !

Arsenal ne sait plus quoi trouver pour dissuader le FC Barcelone de recruter Cesc Fabregas. L'Espagnol a beau sortir d'une saison où ses performances ont été plutôt en deçà des attentes placées en lui, le club londonien aurait selon le journal britannique The Daily Star évalué le prix du milieu de terrain champion du monde 2010 à 68 millions d'euros. De quoi éloigner provisoirement les prétendants les plus pressants tels que le Barça ou Manchester City.

Un tel montant serait bien sûr un obstacle pour le club catalan qui n'entend pas consentir un tel effort financier pour recruter le joueur, d'autant que les Blaugranas auraient par ailleurs proposé 30 millions d'euros à Villarreal pour s'attacher les services de l'attaquant italien Giuseppe Rossi.

Le récent champion d'Espagne, dont l'intérêt pour Fabregas n'est plus un secret depuis deux ans, serait en revanche prêt à offrir une somme d'environ 45 millions d'euros pour le joueur qui avait annoncé qu'il ne souhaitait pas quitter Arsenal pour un entre club de Premier League. Une chose est certaine, personne ne l’achètera à 68 millions d'euros....

Arsenal sur M.Sow ?

Moussa Sow, l'avant-centre de Lille, intéresserait Arsène Wenger, le manager d'Arsenal.
Selon The People, Arsenal serait sur la piste de l'attaquant international sénégalais Moussa Sow (25 ans), dont le contrat expire en juin 2013.

Manchester City songerait aussi à l'ancien Rennais.

Wenger met la pression sur Nasri et Clichy !

À quoi jouent Samir Nasri et Gaël Clichy ? Les deux joueurs n'ont toujours pas prolongé à Arsenal et ne semblent d'ailleurs pas presser de le faire. Mais Arsène Wenger ne l'entend pas de cette oreille et lance un ultimatum aux deux hommes.

Les semaines écoulées et celles à venir sont loin d’être roses pour Arsenal. Les Gunners doivent en effet faire face à de nombreux problèmes, à commencer par la chute vertigineuse au classement, emmenant aujourd’hui le club londonien a une très modeste quatrième place. Les pensionnaires de l’Emirates Stadium devront donc passer par le tour préliminaire de la Ligue des Champions, eux qui ont longtemps cru pouvoir obtenir le titre en Premier League. Un grand écart vertigineux et loin d’être enviable.

Et le ciel loin d’être bleu pour Arsenal devrait s’assombrir encore un peu plus, la faute à deux joueurs qui refusent pour l’heure de prolonger leur contrat. En effet, Samir Nasri et Gaël Clichy n’ont toujours pas donné leur accord à leur direction pour signer une extension de leur bail dans la capitale anglaise. De quoi agacer sérieusement Arsène Wenger. Après avoir vu Mathieu Flamini rejoindre le Milan AC libre de tout contrat, le technicien alsacien ne veut pas vivre pareille situation. Et alors que les deux hommes sont liés aux Gunners jusqu’en 2012, il est désormais vital de les prolonger dans les plus brefs délais.

Interrogé par le Daily Mirror, le coach français n’hésite pas à mettre un petit coup de pression sur son duo de Frenchies, sous forme d’ultimatum : « On fera en sorte que cela ne se reproduise pas. Nous ne voulons pas que se reproduise le scenario de Flamini. On va essayer de régler ça rapidement d’ici la fin de la saison. Nous devons régler ça très rapidement. Ça doit être fait avant que la nouvelle saison ne débute ». Les prolonger cet été, voilà donc l’obsession de Wenger. En cas d’échec dans les négociations, un départ semble donc inéluctable, Arsenal ne voulant pas perdre d’argent dans ces deux opérations. Drôle de situation...

van Persie égale un record

En marquant à Fulham (2-2), Robin van Persie a égalé un record en ayant inscrit 18 buts à partir du 1er janvier d’une année civile.
L’attaquant d’Arsenal Robin van Persie, a réalisé une seconde partie de saison héroïque, en inscrivant notamment la bagatelle de 18 buts. Il égale ainsi le précédant record détenu par Thierry Henry.

Autocritique de Wenger

Seulement quatrième de Premier League, Arsenal devra passer par le tour préliminaire pour disputer la Ligue des Champions la saison prochaine. S’il reconnaît être le premier coupable, Arsène Wenger, le manager des Gunners, estime également que les nombreuses absences ont été préjudiciables à son équipe.
« Je pense que je suis responsable des résultats et je suis très déçu, a expliqué Arsène Wenger, le manager d’Arsenal, sur le site officiel du club.. Les joueurs ont eu une attitude remarquable. Nous avons accumulé les déceptions. Ça a eu un gros impact sur le moral de l’équipe. Nous avons joué 58 matchs. Fagrebas a joué 22 matchs, Van Persie 18 ou 19 matchs et Vermaelen a joué 4 ou 5 matchs. Dans les moments décisifs, nous n’avons jamais eu toute l’équipe. Nous devons rectifier certaines choses dans l’effectif et on va essayer de le faire. Mais ce n’est pas facile. Même avec de l’argent. »

Arsenal doit muscler son marché

Arsène Wenger, dont l'équipe a terminé sur les rotules et à la 4e place de Premier League, se sent "responsable des résultats" d'Arsenal. Le manager des Gunners annonce un marché des transferts plus actif où les profils solides et puissants seront privilégiés. Mais pas à n’importe quel prix.
L'histoire récente d'Arsenal est faite de promesses autant que de frustration. L'exercice 2010/2011, qui s'est terminé dimanche, n'a pas dérogé à la règle. Pendant dix mois, les Gunners ont oscillé entre moments de grâce et instants désespérants. Et, finalement, terminé sans nouveau trophée puisque la Coupe de la Ligue, dont Arsenal a disputé la finale, a filé vers Birmingham City, relégué dimanche en Championship. En Premier League, les Londoniens ont terminé quatrièmes. L'été prochain, ils devront passer par le barrage de la Ligue des Champions pour s’aligner dans la prestigieuse compétition européenne. Mais avant cela, ils devront se réarmer.

L'avantage avec Arsenal, c'est que les manques et les lacunes sont identifiables. Identifiés également. Les Gunners ne sont assurément pas dépourvus de talent. Mais il leur faut maintenant de l'expérience et, probablement, un joueur par ligne. Expérimenté si possible, afin de solidifier l'édifice qui a souvent tangué, notamment quand Arsenal s'est fait bouger physiquement. "On a montré que l'on avait la qualité technique pour gagner le championnat mais certainement pas la solidité défensive", a reconnu Wenger. "Il nous faut gagner de la puissance dans certains secteurs du jeu." Solidité, puissance : le manager du club a compris et fait son mea culpa, lundi.

"Spend some money"

"Je pense que je suis responsable des résultats et je suis très déçu. Les joueurs ont fait preuve d'une attitude exceptionnelle", confie-t-il dans la lettre hebdomadaire qu'il adresse aux supporters du club. Si l'Alsacien regrette les blessures de van Persie, Fabregas ou Vermaelen, qui ont plombé les Gunners, il est également conscient qu'il faut passer à la vitesse supérieure : "On va tenter de rectifier cela cet été et acheter les bons joueurs. L'argent n'est pas toujours lié à la qualité mais si nous trouvons les bons joueurs, nous dépenserons l'argent."

Arsenal, qui est désormais sous contrôle du milliardaire américain Stan Kroenke, a un gros retard à combler. Manchester City, Chelsea ou Manchester United, à un degré moindre, ont pris une avance qui est - en grande partie - liée à leurs efforts financiers. Les Gunners doivent se lancer dans la course à l'armement, poussés par leurs supporters qui ont demandé dimanche à leur direction de faire des efforts, en chanson. "Spend some money" (ndlr : dépensez un peu d’argent), ont-ils entonné dimanche dans les tribunes de Craven Cottage à l'issue du match face à Fulham (2-2). Ce à quoi Wenger répond aujourd'hui : "Même si les gens nous demandent de dépenser de l'argent, il faut être réaliste : on ne peut pas acheter des joueurs de 60 millions." Eternel problème. Pour un éternel recommencement ?

Bendtner va partir

Le père de Nicklas Bendtner, l'attaquant d'Arsenal de 23 ans, a expliqué que son fils a annoncé à la direction du club londonien son souhait de partir durant le Mercato estival.
Le départ de Nicklas Bendtner d'Arsenal commence à prendre forme. Ainsi, son père et agent, Thomas Bendtner, a expliqué au quotidien danois BT que son fils « a pris sa décision et en a informé la direction du club. Nicklas doit jouer pour son propre développement et cela exige qu'il quitte Arsenal, car il n'y a pas de perspective que sa situation s'améliore. » Le Bayern Munich pourrait être son point de chute selon son père.

Arsenal signe Ricardo Alvarez

Arsenal tiendrait sa première recrue du mercato d'été en la personne de Ricardo Alvarez, de Velez Sarsfield.
Après une saison catastrophique, Arsenal va devoir redistibuer les cartes cet été. Le club londonien a d'ailleurs commencé son marché et aurait déjà entériné l'arrivée de sa première recrue : Ricardo Alvarez. En fin de contrat avec son club de Velez Sarsfield, le milieu offensif aurait signé un accord avec les Gunners, selon les médias sud-américains.

Agé de 23 ans, l'Italo-Argentin est comparé par certains à Leo Messi. Auteur d'une très bonne saison dans le championnat argentin, il pourrait remplacer Tomas Rosicky, Andrey Arshavin ou Carlos Vela.

Arsenal en Asie

Après une fin de saison catastrophique, Arsenal doit se reprendre. Et pour être en forme dès la reprise du championnat, les Gunners vont enchaîner les matchs amicaux. Dernière programmation en date, celle d’une tournée d’été en Malaisie et en Chine.

Les hommes d’Arsène Wenger se rendront le 13 juillet à Kuala Lumpur pour un match amical contre une sélection malaisienne, puis le 16 juillet au Centre des Sports Meihu, à Yiwu en Chine, pour affronter le Hangzhou Greentown. Tout ça 15 jours avant de disputer leur compétition, l’Emirates Cup les 30 et 31 juillet.

Un continent bien connu d’Arsène Wenger, lui qui fut un temps entraîneur au Japon.

Wenger en pince pour Benzema

Arsenal pourrait claquer ses économies dans Karim Benzema cet été. En effet, les Gunners, privés de trophée depuis 2005 et un triomphe en Coupe d'Angleterre, veulent changer les choses. Leur entraîneur, Arsène Wenger, estime que le transfert de l'attaquant du Real Madrid n'est "pas impossible". Il coûterait environ 40 millions d'euros aux Londoniens.


Les années se suivent et se ressemblent pour Arsenal, en proie à une disette de titres depuis six ans maintenant. Il faut en effet remonter à 2005 pour trouver trace du dernier trophée soulevé par les Gunners, une Cup brandie par celui qui était le capitaine du navire londonien à l'époque, Patrick Vieira. Depuis, la bande d'Arsène Wenger accumule les déceptions, toujours placée mais jamais gagnante, à l'image d'une finale de Ligue des champions perdue contre Barcelone en 2006 ou d'un exercice 2010-11 conclu à la quatrième place en Premier League, derrière les deux équipes de Manchester et Chelsea. Pire, Cesc Fabregas et consorts ont même laissé filer la Carling Cup en s'inclinant à la surprise générale en finale contre Birmingham (2-1), le 27 février dernier.

Si Arsenal est un modèle de régularité et l'un des rares grands d'Europe à pouvoir se targuer de finances saines, l'absence de titres commence pourtant à peser dans le nord de Londres. Ainsi, les supporters d'Arsenal n'ont pas manqué de faire part de leur mécontentement à l'occasion de la dernière journée du championnat d'Angleterre, déployant dimanche dans les travées de Craven Cottage, théâtre du match nul entre Fulham et les Canonniers (2-2), une banderole sans équivoque: "Dépensez ce ..... d'argent !" Une injonction à l'endroit de la direction d'Arsenal, jugée trop frileuse en matière de transferts, que Wenger avait pourtant anticipé bien involontairement dans l'émission Téléfoot: "Le marché va être hyperactif. (...) Et pour la première fois depuis très longtemps, je serai moi-même actif. Mais il faut être réaliste. Nous ne pouvons pas acheter un joueur pour 50 millions de livres. Nous essaierons d'acheter les bons joueurs."

"Recruter Benzema ne parait pas impossible"

Parmi ces "bons" joueurs, un nom qui circulait déjà du côté de l'Emirates Stadium ne devrait pas manquer de revenir avec insistance ces prochains jours: celui de Karim Benzema. Si l'attaquant français du Real Madrid venait à se lasser du "je t'aime, moi non plus" entretenu avec José Mourinho, Arsenal Wenger semble parfaitement disposé à accueillir le natif de Lyon. "C'est un joueur que j'aime, a confié le technicien français dans les colonnes du Sun mercredi. Il est intelligent dans ses déplacements, il est capable de bien combiner avec ses partenaires, de faire la différence et d'exploits individuels également. A mes yeux, c'est l'un des meilleurs joueurs du monde."

Une véritable déclaration d'amour, somme toute habituelle sur la planète football, qui prend tout son intérêt lorsque l'Alsacien la ponctue d'un "le recruter ne parait pas impossible". Arsenal serait-il donc prêt à casser sa tirelire pour enrôler celui qui a inscrit 26 buts toutes compétitions confondues cette saison ? Arrivé à la Maison Blanche à l'été 2009 pour quelque 35 millions d'euros, Karim Benzema est estimé à 40 millions d'euros par le tabloïd britannique. Une estimation haute qui laisse tout de même penser qu'une nouvelle ère - celle des transferts coûteux - pourrait s'ouvrir chez les Gunners, désormais possédés par le milliardaire américain Stan Kroenke, par ailleurs propriétaire de quatre grandes franchises sportives aux Etats-Unis. Et si la révolution était tout simplement en marche à Arsenal ?

Arsenal veut relancer Kalou

Après une nouvelle saison blanche, la sixième de rang, Arsenal va se renforcer. Notamment devant où Marouane Chamakh a passé une saison mi-figue mi-raisin et où Andrei Arshavin pourrait partir. A en croire la presse anglaise, les Gunners auraient jeté leur dévolu sur Salomon, l’attaquant de Chelsea sous contrat chez les Blues jusqu’en juin 2012. Le plus français des clubs anglais serait même disposé à offrir 12 M€ pour l’international ivoirien, également suivi par Galatasaray.