Arsenal Football Club

Quand une grosse personnalité réclame le départ de Wenger !

Sans doute écarté de la course au titre de champion d'Angleterre, après le revers d'Arsenal face à Swansea (2-1) dimanche, Arsène Wenger s'est attiré les foudres des fans. Dont certains très célèbres, à l'instar de Piers Morgan.

Arsène Wenger en fait-il trop ? Présent sur le banc des Gunners depuis 18 longues années, l'Alsacien est le dernier grand entraîneur de la génération passée. Il reste toutefois loin du record de l'ancien coach de Manchester United, qui est resté 26 ans aux commandes de MU. Oui mais voilà : sa nouvelle défaite contre Swansea (2-1) dimanche a peut-être mis fin aux chances des Gunners de lutter pour le titre.

« WENGER EST TROP ARROGEANT, TROP TÊTU
Visiblement déçu après le revers d'Arsenal, Piers Morgan -connu comme le juge de Britain's Got Talent et America's Got Talent- a fustigé le coaching de Wenger. Il s'est insurgé contre le Français sur les réseaux sociaux. « Wenger ne partira jamais. Il est trop arrogeant, trop têtu. Il ne bougera pas tant que les fans d’Arsenal ne crieront pas : "ASSEZ", a-t-il écrit sur Twitter, avant de s'expliquer plus en longueur. Plus il a de l’argent, moins Wenger performe. L’argent a toujours été son excuse bidon. »

« LE PLUS GROS CHALLENGE QUE NOUS ALLONS DEVOIR RELEVER »
Interrogé il y a peu sur la succession d'Arsène Wenger, le directeur exécutif Ivan Gazidis avait expliqué qu'Arsenal allait devoir gérer au mieux le passage de témoin. « Le plus gros challenge que nous allons devoir relever, c’est la transition entre Arsène et le prochain manager, avait-il déclaré au Daily Star. Je ne sais pas quand cela va arriver. »

Wenger reconnaît la supériorité de Chelsea

Si Arsène Wenger et José Mourinho ne s'apprécient guère, le manager d'Arsenal reste pourtant beau joueur et a reconnu dimanche, au sortir de la défaite des siens contre Swansea City (2-1) en championnat, que ses rivaux londoniens de Chelsea semblaient imbattables actuellement.

"S'ils gardent ce rythme, personne ne pourra les inquiéter. Actuellement, je ne vois personne pour rivaliser avec eux, a expliqué l'Alsacien sur la BBC alors que Chelsea s'est imposé à Liverpool samedi (1-2). Ils sont sur les bases d'une saison à 105 points. Chelsea a réussi un superbe début de saison, et tant que cette équipe ne perdra pas, elle aura toujours plus confiance en elle et en ses qualités".

Tactique, mentalité et transferts : Arsenal et Wenger, critiqués, doivent évoluer

Arsenal a encore montré ses limites défensives ce weekend. Les Gunners et Arsène Wenger sont vivement critiqués et vont devoir s'activer pour corriger leurs manques qui leur coûtent si cher.

Le constat :

Il est évident. Et connu de tous. Brillant en attaque dans le sillage d'Alexis Sanchez, Arsenal peine en défense. Les Gunners n'arrivent plus à fermer le jeu. Depuis deux matches, c'est même désespérant. Mercredi en Ligue des champions, les Gunners ont concédé le nul face à la modeste formation d'Anderlecht après avoir mené 3-0. Ce week-end, ils ont remis ça en perdant en Premier League contre Swansea (2-1) après avoir ouvert le score. Sixième à 12 points de Chelsea et quatre du podium, le club londonien paye cash ses errements. Mais le souci, c'est que cela ne date pas d'hier.

Les critiques :

Une défense qui manque de qualité

A une époque, Arsenal possédait une forteresse derrière. Il y a eu son fameux "back four" (Adams, Dixon, Bould et Winterburn). Ou plus récemment, les "Invincibles", qui avaient notamment forgé leur succès sur une solidité à toute épreuve. Mais depuis cette mythique saison 2003-2004 conclue avec le dernier titre de champion d'Angleterre des Gunners, les choses ont bien changé. Arsenal n'a plus jamais terminé avec la meilleure défense du championnat et même avec moins de 30 buts encaissés par saison. Comme ci, son déclin a suivi celui de sa défense.

Aujourd'hui, l'arrière-garde londonienne ne fait ainsi pas saliver grand monde. Laurent Koscielny peut pourtant former une charnière solide avec Per Metesacker mais entre les blessures et les rouges, Arsène Wenger n'a pas eu régulièrement le loisir de les aligner l'un à côté de l'autre ces derniers temps. Et derrière, il n'y a pas grand monde. Le jeune Calum Chambers a certes débarqué cet été mais il manque encore d'expérience et évolue le plus souvent sur un côté…

Une question de mentalité

Jouer le titre, Arsenal ne sait plus vraiment ce que cela veut dire. On va lui glisser un petit secret alors : il faut éviter de laisser trop de points en route et surtout ne pas les gaspiller quand on mène au score. Or, le club londonien a déjà lâché neuf points après avoir pris l'avantage au tableau d'affichage cette saison… Ce problème n'est pas uniquement lié à la défense. C'est aussi une question d'état d'esprit. Pour fermer le jeu, il faut le faire en équipe. Or bien souvent, le milieu de terrain et l'attaque oublient leur rôle défensif. Dimanche dans l'émission Match of the Day, Alan Shearer a ainsi pointé du doigt le fait que les Gunners ont continué à attaquer et se sont découvert alors qu'ils menaient 1 à 0. Au final, ils ont payé cher leur manque de discipline… comme souvent.

Wenger, sa tactique et son recrutement pointés du doigt

Arsène Wenger est l'un des meilleurs managers au monde. Sa longévité, ses succès ou encore le style de jeu pratiqué par ses équipes sont là pour en témoigner. Cependant, il n'arrive plus à refaire d'Arsenal le roi d'Angleterre et certains demandent sa tête. Car si on se délecte de ses techniciens et de la qualité de jeu offert par les Londoniens depuis tant d'années, Arsenal manque aussi cruellement de cette culture tactique qui devrait lui permettre de se mettre à l'abri, un domaine où par exemple les équipes de José Mourinho excellent souvent. Selon The Telegraph ce mardi, des voix s'élèveraient d’ailleurs sur la tactique de Wenger, sous le feu des critiques, au sein même du staff des Gunners.

Depuis tant d'années, le recrutement made in Arsenal laisse aussi parfois songeur. On ne parle pas là du secteur offensif. Mais en défense ou encore au poste de gardien, Arsenal a mis du temps à s'activer pour recruter des références aptes à lui permettre de passer un palier. Et c'est encore plus flagrant au milieu de terrain, au poste 6 plus précisément. Arsenal ne compte dans son effectif de joueur du calibre de Patrick Vieira par exemple pour évoluer devant sa défense. Les Gunners n'en forment pas. Eux mettent l'accent sur la technique. Et demandent souvent à des 8 de jouer 6. Du coup, le club du Nord de Londres ne possède pas cet élément si précieux dans les batailles cruciales du milieu de terrain dans le Royaume. Ce joueur clef apte à mettre quelques coups pour stopper une contre-attaque ou à aboyer pour replacer ses troupes. La technique, c'est bien. Mais cela ne fait pas tout. Arsenal en est l'exemple parfait.

Les solutions :

Une prise de conscience collective

Prendre des coups sur la tête permet de temps en temps de se relever avec quelques vérités et de repartir sur des meilleures bases. Les deux derniers reçus par les Gunners sont assez violents pour laisser quelques traces. Les premiers discours vont dans ce sens. "Nous allons devoir apprendre de ça pour nous améliorer", prévient Chambers sur le site du club. Mertesacker a, lui, déjà fait l'analyse et va plus loin : "Nous devons jouer un football plus sérieux et ne pas perdre le ballon dans certaines situations". Sonnés, les joueurs d'Arsenal savent ce qui leur reste à faire. Mais de la théorie à la pratique, demeure un cap. Or ce n’est pas le premier avertissement reçu par les Gunners…

Des renforts espérés

Pour corriger certains manques, il y a les transferts bien sûr. A plus d'un mois de la période du mercato hivernal, les rumeurs vont bon train sur les Gunners, qui auraient près de 40 millions d'euros à dépenser selon les tabloïds. Sans surprise, le secteur défensif est le plus ciblé par la presse britannique. Ce mardi, le Daily Express évoque un intérêt pour Dani Alves, le latéral du FC Barcelone. Le rêve des Gunners serait toutefois toujours Mats Hummels, le défenseur champion du monde de Dortmund. Un dossier très compliqué qui a peu de chances d’aboutir. En attendant d’y voir plus clair, les noms de Chris Smalling (Manchester), Virgil van Dijk (Celtic Glasgow), Stephan Lichtsteiner (Juve), Ron Vlaar (Aston Villa) et Winston Reid (West Ham) sont aussi régulièrement cités pour renforcer l'arrière-garde londonienne. A en croire la presse anglaise, la tête de liste au milieu de terrain est toujours l’Allemand du Real Madrid Sami Khedira, déjà approché cet été. Là non plus, ce n’est pas gagné. Cependant, les tabloïds britanniques parlent aussi d'intérêts pour des joueurs offensifs, comme Pedro (Barça) et Marco Reus (Dortmund), mais le second notamment serait refroidi. Selon The Sun, il aurait en effet des doutes sur la capacité des Londoniens à gagner des titres… En même temps, son profil n'est peut-être pas la priorité des Gunners. Même si avec Arsenal, il faut se méfier.

C'est la bagarre entre Mesut Özil et son père

Les deux hommes ont décidé de laver leur linge sale en famille.

L'international allemand Mesut Özil est parvenu à un accord à l'amiable avec son père Mustafa, son ex-manageur qui lui réclamait 630.000 euros d'indemnités, a annoncé mardi un tribunal de Düsseldorf, saisi par Özil senior.

L'an passé, Özil avait renvoyé son père du poste de directeur-général de sa société de marketing. Ce dernier avait alors porté l'affaire devant un tribunal pour réclamer un total de 630.000 euros en manque à gagner.

La société du fils, désormais dirigée par son frère Mutlu, a contre attaqué en réclamant le paiement d'un emprunt d'un million d'euros ainsi que la restitution d'une voiture de fonction.

Mustafa Özil avait négocié le transfert de son fils du Real Madrid à Arsenal en 2013, pour 50 millions d'euros.

La DH

Lukas Podolski exprime clairement ses envies de départ

Le buteur espère trouver une solution durant le prochain mercato hivernal.
Lié jusqu'en juin 2016 avec les Gunners, le buteur international allemand (29 ans) a clairement exprimé ses envies de départ estimant qu'il n'est pas suffisamment soutenu par Arsène Wenger.
"Je ne suis pas heureux de la situation actuelle, ce serait faux de dire que c'est le cas. Je veux encore m'amuser en jouant au foot. Je dois penser à ce qu'il se passera cet hiver et je vais discuter avec le club."
Après la victoire de son club face à Anderlecht en Ligue des champions, le buteur décisif avait pourtant reçu les félicitations de son coach qui espérait encore compter plusieurs mois sur son joueur.

walfoot

une offre vertigineuse de 38 M€ pour deux stars du Barça ?

Le FC Barcelone ne traverse pas vraiment la meilleure période sportive de son histoire. Sans que son récent bilan soit catastrophique, le dernier titre remporté par le club n’est qu’une modeste Super Coupe d’Espagne le 28 août 2013. Autant dire que si la saison précédente n’a pas été vierge de tout trophée, elle reste tout de même l’exception plutôt que la règle en Catalogne. Cette saison non plus n’est pas calamiteuse mais le Barça n’est ni leader en championnat, deux points derrière le Real Madrid après la défaite dans le Clasico (3-1), ni en Ligue des Champions, un point derrière le Paris Saint-Germain après la défaite au Parc des Princes (3-2). Autant dire qu’il n’y a pas péril en la demeure, seulement une dernière marche à franchir vers les sommets.

Ce qui est nettement plus embêtant, c’est l’interdiction de transfert dont fait l’objet le club jusqu’à l’été prochain, malgré une brève suspension de la sanction qui a permis aux Blaugranas de recruter les Suarez, Rakitic, Bravo, Ter Stegen ou encore Mathieu. Pour progresser lors des prochains mois, Barcelone ne peut donc compter que sur ses forces en présence. Tout départ ne pouvant être compensé, l’information du Daily Express selon laquelle Arsenal serait prêt à mettre un peu plus de 38 millions d’euros pour enrôler Pedro et Dani Alves cet hiver a de quoi faire frémir la direction catalane. D’autant que Liverpool, Manchester United et Chelsea se seraient également montrés intéressés, et ce à un prix bien au-dessus de celui du marché.

Ce qui pose une double problématique aux dirigeants culés. Remplir les caisses en laissant filer deux joueurs qui ne font de toute façon pas partie du onze type du Barça cette saison, bien que Dani Alves dispose d’un temps de jeu non négligeable, ou bien les garder en jokers de luxe en cas de blessure ou dans une logique de turnover. Pour Arsenal en tout cas, l’affaire serait belle. Debuchy blessé pour plusieurs mois, Chambers sur le point d’être reconverti en défenseur central, il faut un latéral droit aux Gunners. En fin de contrat à la fin de la saison, le Brésilien est toutefois suivi de près par van Gaal et Mourinho, prêts à débourser 7,5 M€ en janvier. L’ailier espagnol Pedro est lui aussi courtisé par United, mais également par Liverpool, se doutant bien que l’arrivé de Suarez a sérieusement remis en cause ses perspectives. Seulement voilà, Arsenal est également dans la course, et la présence son ancien coéquipier Alexis Sanchez pourrait peser dans la balance. Seule question en suspens : l’intérêt de Wenger à acheter des joueurs âgés, respectivement 31 et 27 ans, à un tel prix, si ce n’est pour sécuriser leur arrivée.

Arsenal, une enveloppe de 25,5 millions en janvier

A l'occasion du mercato hivernal du mois de janvier, Arsenal devrait se montrer très actif pour se renforcer, notamment dans le secteur défensif. Dans cette optique, les médias britanniques indiquent qu'Arsène Wenger aurait la possibilité de dépenser à hauteur de 20 millions de livres, soit 25,5 millions d'euros. Avec une telle somme, il sera possible pour les Gunners de réussir un ou deux coups, le manager alsacien ayant pour priorité de recruter dans l'axe. Les noms des Néerlandais Virgil van Dijk (Celtic Glasgow) et Ron Vlaar (Aston Villa) reviennent avec insistance du côté de l'Emirates Stadium.

Özil encore absent sept semaines

Arsenal devra encore se passer durant sept semaines de son milieu offensif Mesut Özil, éloigné des terrains en raison d’une blessure au genou gauche depuis début octobre, a confirmé le champion du monde allemand.

« Ça fait déjà cinq semaines que je suis blessé et je vais encore manquer sept semaines. C’est très long », a déclaré Özil mercredi soir à Berlin où il était honoré par les Laureus Awards.

Özil souffre d’une rupture partielle des ligaments croisés du genou gauche et sera indisponible durant 10 à 12 semaines, avait annoncé la Fédération allemande (DFB) le 8 octobre, avant les matches en Pologne (2-0) et contre l’Irlande (1-1) en qualifications à l’Euro-2016.

Le milieu offensif de 26 ans sera aussi privé des deux dernières sorties de l’année de la Mannschaft, contre Gibraltar en qualification à l’Euro-2016 vendredi, puis contre l’Espagne en amical quatre jours plus tard.

La NG

Giroud a repris l'entraînement

L'attaquant d'Arsenal et de l'équipe de France Olivier Giroud, opéré d'un pied le 27 août, a repris l'entraînement, a annoncé le site internet du club anglais, photos à l'appui, jeudi.
Sur les huit clichés postés sur www.arsenal.com, on voit en effet Giroud courir, disputer un ballon à un coéquipier et discuter avec son entraîneur Arsène Wenger. Le 31 octobre, le manageur français avait déjà souligné que "Olivier a de l'avance sur le calendrier de récupération". "Il a trois semaines d'avance et devrait recommencer à s'entraîner normalement après la trêve internationale mi-novembre. C'est une excellente nouvelle", dit-il. Giroud, 27 ans, s'était blessé à un pied lors d'un match à Everton en Championnat d'Angleterre, le 23 août. (Belga)

Abou Diaby sur la touche

L'homme de verre du club d'Arsenal s'est fait une déchirure au niveau des ischio-jambiers.

C'est lors d'un entraînement de la formation d'Arsenal ce jeudi qu'Abou Diaby s'est blessé raconte le site internet goal.com relayé par lequipe.fr.

Touché aux ischio-jambiers, le milieu de terrain français, dont le contrat se termine en juin prochain, serait éloigné des terrains durant les trois prochains mois. Une nouvelle longue absence pour Diaby donc.

Walfoot

ok pour le talent mais quand on est blesser 365 jours par an et cela depuis des années on peut pas dire que c'est un joueur de foot !!!!!!!!!!

Wenger, les dernières tendances pour son avenir...

À Arsenal depuis 18 ans, Arsène Wenger est presque devenu un meuble chez les Gunners. Véritable chef d’orchestre des plus belles années d’Arsenal, il sera encore le banc jusqu’ en 2017. Et c’est tout ?

À Londres, il y a deux types de supporters d’Arsenal. Il y a ceux qui ne se souviennent que des exploits d’Arsène Wenger à la tête du club, de l’époque des « invincibles », et qui continuent de penser que le seul entraîneur possible pour Arsneal est Arsène Wenger. Mais il y a également ceux qui sont saoulés des échecs répétés des Gunners en termes palmarès, et veulent la tête de l’Alsacien.

WENGER ET ARSENAL, C’EST AU MOINS JUSQU’EN 2017

En effet, il y aura forcément un moment où Arsène Wenger devra dire « stop » et plier bagage, comme l'annonce le Daily Mail. Mais ce jour n’est pas encore arrivé, car le contrat d’Arsène Wenger a été reconduit jusqu’au mois de juin 2017 à la suite de premier trophée remporté par Arsenal la saison dernière en Cup. Une bonne nouvelle pour l’Alsacien qui n’a jamais affiché des envies d’ailleurs, même quand les Qataris du PSG lui ont fait les yeux doux durant 2 saisons.

STOP OU ENCORE ?

Il se murmure pourtant que les dirigeants d’Arsenal se soucient de la situation contractuelle de leur manager. Car aujourd’hui âgé de 65 ans, le technicien des Gunners en aura 67 à la fin de son contrat. Suffisant pour pousser la direction du club à ne pas renouveler une nouvelle fois le contrat d’Arsène Wenger ? Rien n’est moins sûr quand on connaît l’impact de la personne à Arsenal. Mais les deux derniers mauvais résultats d’Arsenal (match nul 3-3 contre Anderlecht après avoir mené 3-0 à 30 minutes de la fin du match et la défaite 2-1 contre Swansea) ne jouent pas en sa faveur…

Alexis Sanchez justifie le choix Arsenal et juge ses débuts en Premier League

Discret dans les médias, Alexis Sanchez a aujourd'hui livré une interview conséquente au quotidien AS. Le Chilien revient sur son choix de rejoindre Arsenal, et a jugé son adaptation à la Premier League.

Il fut l’un des transferts les plus retentissants de l’été 2014. En rejoignant Arsenal en provenance du Barça contre un chèque de 40 M€, Alexis Sanchez n’a pas manqué de faire jaser. Jusqu’alors, le talentueux chilien ne s’était pas épanché dans les médias sur son choix de carrière. Il vient de briser le silence via une interview accordée à la version chilienne du quotidien AS, dans laquelle il a détaillé le choix des Gunners. « Des gens de confiance m’ont fait l’éloge d’Arsenal, sa grandeur, la qualité de ses joueurs. Maintenant que j’y suis, quand je m’arrête pour regarder mes coéquipiers, je me rends compte que je suis entouré de qualité. Je suis impressionné par leur attitude et leur talent. Je sais que ce groupe peut gagner beaucoup de titres dans les années à venir. J’en suis convaincu. » Si le temps de jeu et la perspective d’un tout autre statut ont sans nul doute pesé dans la balance également, l’ancien de l’Udinese assure ne garder que des bons souvenirs du Barça.

« Je suis très reconnaissant au Barça de m’avoir fait grandir en tant que footballeur et en tant que personne. J’ai beaucoup appris des joueurs que j’ai côtoyé. J’ai vraiment mûri. Je ne peux que remercier le club. Mais je suis à Arsenal maintenant et j’espère tout gagner ici. Voilà pourquoi je suis venu », a-t-il poursuivi. Si les Gunners semblent encore loin de pouvoir espérer des titres, eux qui sont largués à 12 points du leader en championnat et déjà éliminés de League Cup, Sanchez n’a quant à lui pas manqué ses débuts. Avec 8 buts et 2 passes décisives en 10 rencontres, on pourrait dire qu’il a déjà dompté la Premier League. Étonnamment, pourtant, celui qui a été élu meilleur joueur de la division sur le mois d’octobre a estimé qu’il devait encore parfaire son adaptation.

« Il faut connaître l’environnement dans lequel vous êtes. J’apprends les mouvements de mes coéquipiers et apprends à les aider. Il est clair que je dois m’améliorer et c’est ce qu’on me dit parfois dans le vestiaire : j’aurais pu lâcher le ballon plus tôt, faire une touche en moins pour faciliter la contre-attaque… C’est vital. Je dois apprendre parce que les transitions rapides sont essentielles dans ce championnat et avec cette équipe », a-t-il assuré. Et pour cause. Selon ses dires, Sanchez découvre à peine un football « dur », et parle de difficultés. « Il faut que je m’adapte. De tous les championnats où j’ai joué, celui-ci est le plus difficile. J’aime les défis, mais ce n’est pas simple. (…) Les équipes sont toutes très proches. Celles de bas de tableau peuvent contrarier celles du haut, et l’issue des matches est décidée par un certain nombre de petites choses. J’aime ça, on ne peut jamais se reposer sur ses lauriers. » Sanchez n’est de toute façon pas du genre à se contenter de ce qu’il a...

Plusieurs profils à l'étude pour remplacer Arsène Wenger ?

Au club d’Arsenal depuis près de 20 ans, Arsène Wenger sera forcément contraint de dire stop à ses dirigeants alors que l’Alsacien aura 67 ans à la fin de son contrat en 2017. Arsenal serait d’ores et déjà en train de préparer l’avenir.

C’est une chose inéluctable ! Âgé de 65 ans, Arsène Wenger, qui a déjà passé 18 longues années sur le banc d’Arsenal, sera obligé de mettre un terme à sa carrière d’entraîneur d’Arsenal. Tandis que son contrat court jusqu’en 2017, le technicien alsacien pourrait bien continuer l’aventure, mais les dirigeants d’Arsenal se seraient déjà mis en quête du remplaçant de Wenger.

LES PRINCIPALES CIBLES POUR L’APRES-WENGER…

Forcé de penser à l’avenir, le club d’Arsenal penserait dès maintenant aux potentiels noms d’entraîneurs qui pourraient succéder à Arsène Wenger, le légendaire manager d’Arsenal. Le Daily Mail avance que les principales cibles de la direction d’Arsenal seraient Jurgen Klopp (Borussia Dortmund), Joachim Löw (le sélectionneur de l’Allemagne) et Pep Guardiola (Bayern Munich).

…ET LES AUTRES

À noter que ces trois techniciens sont imprégnés du jeu à l’allemande et figurent parmi les entraîneurs les plus réputés de la planète football. Toujours selon le média britannique, Arsenal penserait également à Thomas Tuchel (ex directeur sportif de Mayence, aujourd’hui sans emploi), Roberto Martinez (Everton) et Franck De Boer, qui sont les pistes les moins évidentes pour succéder à Arsène Wenger au club d’Arsenal. Du beau monde qui pourrait prendre la place de l’actuel manager des Gunners, même si ce dernier ne semble pas encore déterminé à lâcher sa place.

Contacts pour Destro ?

Selon le Daily Star, Arsenal aurait activé la piste menant à Mattia Destro, l'attaquant de la Roma.

Sous contrat jusqu’en juin 2017 avec la Roma, l’attaquant international italien Mattia Destro (23 ans) susciterait l’intérêt prononcé et concret d’Arsenal. Selon le Daily Star, les Gunners auraient noué les premiers contacts pour un éventuel transfert de l’ancien joueur de l’Inter Milan ou encore du Genoa, auteur de quatre buts cette saison en Serie A.

Fiorentina : La piste Podolski

Selon le London Evening Standard, la Fiorentina penserait à Lukas Podolski, l'attaquant d'Arsenal.

En manque de temps de jeu chez les Gunners, l’attaquant international allemand Lukas Podolski (29 ans) – qui est sous contrat jusqu’en juin 2016 – pourrait notamment compter sur l’intérêt de la Fiorentina. Selon le London Evening Standard, l’ancien joueur de Cologne pourrait faire l’objet d’une offre de la part de la Viola. L’Inter Milan serait aussi attentif à sa situation.

Inter Milan : Campbell en prêt ?

Selon Tuttosport, Joel Campbell, l'attaquant costaricien d'Arsenal, susciterait l'intérêt de l'Inter Milan.

En quête d’un renfort à vocation offensive, l’Inter Milan aurait activé la piste menant à l’attaquant international costaricien (22 ans, Arsenal), dont le contrat expire en juin 2016. En mal de temps de jeu chez les Gunners, l’ancien Lorientais pourrait faire l’objet d’un prêt, avec une option d'achat fixée aux alentours de neuf millions d'euros, lors du Mercato d’hiver. Fabio Borini (23 ans, Liverpool) aurait aussi été ciblé, mais l’Italien serait hors de portée des finances du club entraîné par Walter Mazzarri, qui penserait aussi à Zakaria Bakkali (18 ans, PSV Eindhoven) ou encore à Lukas Podolski (29 ans, Arsenal).

qui pour sortir Joel Campbell de la galère ?

Joel Campbell s'est accroché, mais rien n'y fait : il ne joue pas à Arsenal. Le milieu offensif du Costa Rica, désabusé, aurait demandé son départ. L'Inter Milan vient de se positionner.

« Je tiens à le garder ici, il a très bien évolué et a pris en maturité ». Cet été, alors que Joel Campbell réalisait une Coupe du Monde sublime avec le Costa Rica, Arsène Wenger ne tarissait pas d’éloges à l’égard de son protégé. En clair, après l’avoir prêté successivement au FC Lorient, au Betis Séville, puis à l’Olympiacos, le technicien alsacien semblait enfin compter sur le jeune homme de 22 ans. Mais tout est dans le « semblait » car, de la parole aux actes, le coach d’Arsenal n’a clairement pas assumé.

En effet, force est de constater que l’ancien joueur du Deportivo Saprissa ne joue pas depuis son retour du côté de l’Emirates Stadium. Le natif de San José ne compte ainsi que cinq matches toutes compétitions confondues depuis son retour à Londres, avec deux rencontres disputées en Premier League, une en Ligue des Champions, une autre en League Cup, et enfin le Community Shield. Pas de quoi rassurer le milieu offensif, qui n’aspire qu’à une chose : jouer. Au point même que, ces derniers jours, l’hypothèse d’un départ dès cet hiver prenait corps, le joueur ayant selon toute vraisemblance demandé son départ.

Une demande qui n’est pas passée inaperçue, et voilà déjà un club enclin à mettre la main sur lui. En effet, à en croire le Daily Mirror, Joel Campbell intéresse au plus haut point l’Inter Milan. En quête d’un renfort offensif, les Nerazzurri sont entrés en contact avec les dirigeants londoniens ainsi que l’entourage du joueur, afin d’étudier la faisabilité d’une transaction dès cet hiver. Aussitôt arrivé, aussitôt reparti : Campbell pourrait quitter Arsenal juste après avoir retrouvé l’Emirates Stadium, rapidement. À toute vitesse en quelque sorte, comme il le fait sur le terrain. Enfin, quand il joue...

Ce joueur qui ouvre la porte à Wenger et Mourinho...

Un international italien a déclaré être flatté par l’intérêt que lui porteraient actuellement Arsenal et Chelsea.

Bien qu’il ait plusieurs attaquants de haut niveau à sa disposition, José Mourinho est toujours à l’affût pour flairer le bon coup. Le coach des Blues lorgnerait actuellement sur Mattia Destro, buteur de l’AS Roma et de la sélection d’Italie. Ce sera sûrement un duel londonien pour l’international transalpin, puisque Arsenal suivrait également de près le joueur formé à l’Inter Milan.

« L’INTÉRÊT D’ARSENAL ? ÇA FAIT PLAISIR »

Récemment interrogé sur les convoitises qu’il suscite, Mattia Destro s’est dit flatté d’être dans le viseur de clubs du standing de Chelsea et Arsenal. « J’ai eu vent de l’intérêt d’Arsenal » a-t-il confié au micro de Radio Roma. « Ça fait toujours plaisir de voir de tels clubs s’intéresser à vous, car ça veut dire que je suis sur la bonne voie et que mon travaille paye. Il me reste toutefois tellement de choses à améliorer et je pense que je dois encore travailler pour montrer ce dont je suis vraiment capable ». L’attaquant réalise des très belles prestations actuellement à l’AS Roma, mais avec la concurrence de Juan Iturbe, Gervinho et de l’indétrônable Francesco Totti, il se pourrait bien que l’envie le prenne d’aller voir ailleurs.

« JE FERAI MES ÉVALUATIONS À LA FIN DE LA SAISON »

Dans l’esprit de Rudi Garcia, Mattia Destro est actuellement le troisième choix au poste d’attaquant de pointe, surtout au vu des récentes prestations de Francesco Totti. Il Pupone est toujours aussi décisif en dépit de ses 38 ans, ce qui ne manque pas de frustrer l’ancien joueur de Sienne. « L’entraineur fait ses évaluations, je ferai les miennes à la fin de la saison » a-t-il déclaré dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. « Je ne peux que parler sur le terrain. Certains parlent avec leur voix, moi je parle sur le terrain. Je cherche à marquer des buts quand j’en ai l’opportunité. L’entraineur doit-il me donner plus d’opportunités ? Cela dépend de lui ».

"Arsenal m'a fait perdre mon temps"

Dans un entretien donné au quotidien Tipsbladet, Nicklas Bendtner a fortement critiqué son ancien club, Arsenal.

Nicklas Bentdner est un personnage à part. On en a eu encore une fois la confirmation ce vendredi. Dans un entretien donné au quotidien danois Tipsbladet, l'attaquant de Wolfsbourg a ouvertement critiqué Arsenal, son ancien club, où il a évolué de 2005 à 2014. Cible de l'international danois: la saison 2013-2014, qu'il a traversé tel un fantôme à Londres.

"C'était une situation terrible. Ma dernière saison à Arsenal a été une perte de temps. Il était d'ailleurs inutile que le club ne me permette pas de partir. Un club comme Arsenal pourrait facilement trouver quelqu'un pour jouer à mon poste et faire ce qu'on me demandait de faire."

Démenti pour Diaby

Arsenal dément formellement la nouvelle blessure d'Abou Diaby. D'après les Gunners, le très fragile milieu de terrain français, toujours convalescent, récupère tranquillement.

Pas de nouvelle blessure mais juste une convalescence qui se poursuit pour Abou Diaby ? Arsenal dément en effet formellement la nouvelle blessure du milieu de terrain français lors d’un entraînement cette semaine. Une information de James Olley, le correspondant du London Evening Standard. Dans un tweet, ce dernier indique que les Gunners lui ont fait savoir qu’il ne s’agissait que d’une rumeur et que le joueur, si fragile, n’était pas victime d’une nouvelle rechute.

Jeudi, tous les médias avaient fait leurs choux gras d'une déchirure aux ischio-jambiers, synonyme pour l’ancien Auxerrois de nouvelle absence longue durée. Diaby, victime de 41 blessures depuis son arrivée à Londres en janvier 2006, aurait été indisponible trois mois de plus si cette énième blessure avait été confirmée. Ce qui n’est visiblement pas le cas. Du côté d’Arsenal, on assure que le Français se remet tout doucement en forme.

Arsenal ne ferme pas la porte à Podolski

Arsenal pourrait laisser partir Lukas Podolski si une offre à hauteur de 5M€ se présentait.

Lukas Podolski a déjà clamé sa volonté de quitter Arsenal à plusieurs reprises. L'attaquant international allemand est cantonné à un rôle de remplaçant et aspire à un temps de jeu plus conséquent. Même si son bail actuel court jusqu'en 2016, Arsenal ne serait pas opposé à son départ. Selon le quotidien Bild, les dirigeants du club londonien pourraient en effet ouvrir la porte en cas d'offre atteignant une indemnité de 5 M€. Affaire à suivre...

Arsenal et Manchester United sur Winston Reid

De sources anglaises, Arsenal et Manchester United seraient fortement intéressés par le profil du défenseur de West Ham, Winston Reid.

Les dirigeants de West Ham auraient fixé un ultimatum au défenseur de 26 ans pour parapher un nouveau bail de 3 saisons, son contrat expirant à l’issue de la saison. Selon le Mirror, Winston Reid aurait jusqu’à mi-janvier pour se décider.

En cas de refus, l’international Néo Zélandais sera libre de se choisir une nouvelle destination. Arsenal et Manchester United pourront-ils attendre jusque mi janvier ? C’est toute la question.

Bender plutôt que Khedira ?

Arsène Wenger a coché un nouveau nom sur sa liste de recrues potentielles lors du prochain mercato hivernal. Le manager d’Arsenal souhaiterait s’attacher les services de l’international allemand Lars Bender (25 ans), selon le Telegraph. Le milieu récupérateur du Bayer Leverkusen est l’un des meilleurs milieux de terrain de Bundesliga et, selon les premiers chiffres avancés, Wenger serait prêt à mettre 19 millions de livres (près de 24 millions d’euros) sur la table. Cette rumeur fait suite aux difficultés rencontrées par Arsenal sur le dossier Sami Khedira. Le joueur du Real Madrid serait en effet très convoité par Chelsea et Manchester United alors qu’il est aussi envisageable qu’il prolonge à Madrid.

Debuchy de retour en décembre

Victime d’une entorse à la cheville en septembre dernier, le Français Mathieu Debuchy devrait pouvoir rejouer avant la fin de l’année.

Transféré de Newcastle l’été dernier, Mathieu Debuchy a vu ses débuts avec Arsenal gâchés par une méchante blessure à la cheville. Un coup dur, mais dont il est en passe d’être rétabli. Dans une interview accordée au site du club londonien, l’ancien Lillois a affirmé qu’il se sentait de mieux en mieux et qu’il devrait pouvoir rejouer dans quelques semaines : « Je vais mieux. Je travaille dur chaque jour avec le physiothérapeute et je veux revenir sur les terrains en décembre. C’est mon objectif. J’ai été très content de signer à Arsenal, et ça a été frustrant de se blesser rapidement, mais je vais revenir plus fort ».

Wenger a refusé le poste de sélectionneur plusieurs fois

Arsène Wenger a révélé dimanche qu'il avait refusé plusieurs fois le poste de sélectionneur des Bleus. Le manager d'Arsenal n'est pas fan de la fonction.

Arsène Wenger sélectionneur des Bleus, ce n’est pas pour tout de suite. C’est même probablement pour jamais. Dimanche soir, invité de l’émission « Le Club du dimanche » sur beIN Sports, le manager français d’Arsenal a expliqué que le poste ne l’intéressait pas. L’Alsacien a même révélé qu’il avait été approché plusieurs fois par la Fédération française de football pour prendre les commandes de l’équipe de France. Mais qu’il avait à chaque fois décliné la proposition.

« Un peu de la perte de temps »

« J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'être sélectionneur de l'équipe de France, a avoué Wenger, qui reconnaît qu’il est beaucoup plus intéressé par le travail quotidien d’un entraîneur que par celui, le plus souvent en amont, d’un sélectionneur. « Etre sélectionneur de l'équipe de France, il n'y a que deux choses intéressantes : la Coupe du monde et l'Euro. Le reste, c'est un peu de la perte de temps. »

Ces dernières années, le nom d’Arsène Wenger avait souvent été cité pour prendre le relais des sélectionneurs français. Qu’il s’agisse de Laurent Blanc ou Raymond Domenech. On comprend mieux aujourd’hui pourquoi les différents présidents de la FFF ont vite été contraints d’abandonner la piste menant à l’ancien entraîneur de l’AS Monaco.