West Ham United Football Club

Tout sur West Ham United Football Club

Surnom: The Hammers

Site Web: http://www.whufc.com/page/Welcome

Date de fondation: 1895


Couleurs: grenat et bleu ciel

Stade: Boleyn Ground
Upton Park




Palmarès:

Community Shield : 1 (1965)
Cup Winners Cup : 1 (1965)
FA Cup : 3 (1964, 1975, 1980)

West Ham et ses supporters....


Certains supporters de West Ham sont entrés dans la légende.

Durant les années 70 et 80, les affrontements entre groupes de supporters sont à leur apogée. Les supporters de West Ham ont gagné leur notoriété et sont devenus une des "firms" les plus craintes et les plus dangereuses de Londres et d'Angleterre.Retour sur l'épopée peu banale d'un groupe entré dans la légende...

L'Inter City Firm (ICF), groupe de West Ham vous l'aurez compris, prenait ses racines autour des quartiers de East End, Canning Town, Plaistow, Stratford. Ces derniers ont fourni la plupart de hooligans qui allaient devenir des légendes dans les pubs et "terraces" de West Ham, formant ainsi l'un des groupes de hooligans les plus importants du pays. Contrairement à des "firms" comme celles de Chelsea ou Millwall qui s'affichaient distinctement blanches et d'extrême droite, l'ICF regroupait des membres de toutes origines raciales, bien que sa base soit constituée de purs cokneys londoniens. Un de ses leaders historiques, Cass Pennant, était d'ailleurs issue de la communauté noire de Londres.

Dans l'enfer d'Upton Park

Pour beaucoup de supporters d'autres clubs, le parcours le plus effrayant du football anglais était le trajet qu'il fallait faire entre Upton Park Station et la section visiteurs du stade dans le South Bank. Mais ils étaient très souvent loin d'être en sécurité une fois rentrés à l'intérieur du stade car les membres de l'ICF n'hésitaient pas à aller jusque dans la section visiteur pour charger les supporters adverses. Beaucoup des meneurs les plus violents de l'ICF se rassemblaient également dans le Lower West Side du quartier de West Ham, là ou le West Stand et le South Bank se rejoignaient. Ainsi, ils pouvaient provoquer les visiteurs avant et pendant le match.

Les affrontements n'étaient pas limités aux "derbys" contre Chelsea, Millwall ou Tottenham, et l'Inter City Firm multipliait les violences lors de chaque déplacement en marge des rencontres de West Ham. Ainsi, dès sa création, l'Inter City Firm se déplace via le réseau de chemin de fer inter urbain dont provient son nom, arrivant dans les villes en dehors des déplacements officiels des groupes de supporters et souvent sans signes distinctifs (d'où les casuals) et donc avec l'élément de surprise qui jouait en leur faveur. Lors des matches à Londres qui ont vu quelques-uns des plus grands affrontements entre groupes de hooligans, le métro londonien avec ses nombreuses lignes était très souvent utilisé pour se déplacer en évitant les contrôles et les escortes de police puisqu'à cette époque, entrer dans les différents stades sans ticket était particulièrement facile.

Le Heysel change la donne

Pendant les années 90, suite au drame du Heysel, les mesures de surveillance policière sophistiquée et de maintien de l'ordre ont réduit le niveau de la violence, bien que certaines rivalités, comme celle avec Millwall, demeurent toujours aussi vives. Malgré tout, le mythe de l'Inter City Firm reste bien présent à West Ham et en Angleterre, et bien que nos amis anglais soient souvent cités en Belgique comme le modèle à suivre en matière de lutte contre le hooliganisme, ces dernières années ont vu de plus en plus d'incidents impliquant l'ICF, même si ses leaders historiques comme Cass Pennant se sont aujourd'hui rangés...

La musique de West Ham United Football Club

I'm Forever Blowing Bubbles

https://www.youtube.com/watch?v=5daD7gjQUdo

CASS le film sur la vie de CASS PENNANT, hools black de West-Ham, figure mythique de l'ICF :

https://www.youtube.com/watch?gl=FR&hl=fr&v=dE-bjyR2q0c

L'exemplaire mister Parker

Le meilleur joueur de la saison appartient à la pire équipe de Premier League. Absurde? Pas forcément. Oui, West Ham est lanterne rouge. Mais à 30 ans, Scott Parker livre vraiment une saison exceptionnelle. Gros plan sur un joueur à la trajectoire chaotique mais au caractère exemplaire.



Lorsque Scott Parker a été désigné meilleur joueur de l'année en Premier League par les journalistes anglais, le mot qui est le plus souvent venu à l'esprit fut "surprise". Celle de l'intéressé, d'abord, qui a mis une bonne minute à pouvoir prononcer le moindre mot au téléphone en apprenant la nouvelle. Lui est resté sans voix, d'autres se sont étranglés. Certains ont même ricané. Pensez donc. Scott Parker, aux côtés de Stanley Matthews (le premier lauréat, en 1948), Bobby Moore, Jacky et Bobby Charlton, Best, Keegan, Dalglish, Lineker, Cantona et tant d'autres? Une hérésie. Parker, successeur de Rooney, Gerrard, Ronaldo et Henry, les derniers vainqueurs? Au secours. Pourtant, il y a quelque chose de rafraichissant à voir le milieu de terrain de West Ham récompensé de la sorte.



Certes, si Scott Parker a pu recevoir le PFA Award, c'est parce que personne n'a émergé de façon indiscutable au-dessus de la mêlée, y compris au sein des grosses écuries. Mais Parker n'a rien volé. Aucun joueur n'a été plus précieux à son équipe qu'il ne l'a été pour West Ham. Le club londonien pointe à la dernière place du classement à trois journées de la fin. Mais sans Parker, il serait déjà condamné. Depuis longtemps. "Il ne faut pas avoir vu un seul match de West Ham cette saison pour oser dire qu'il ne mérite pas cette récompense, juge Jamie Redknapp, aujourd'hui sur Sky Sport. Il a joué avec davantage de confiance cette année, il est infatigable, il a marqué plusieurs buts importants et il est devenu un vrai leader."

Chelsea, enterrement de première classe

C'est bien sur ce dernier point que Scott Parker a le plus changé. A 30 ans, il parait s'épanouir dans ce rôle de meneur d'hommes dans lequel personne ne l'aurait imaginé il y a encore quelques années. Carlton Cole, son coéquipier à West Ham, se souvient de cet après-midi de février où les Hammers étaient menés 3-0 à la mi-temps à West Brom. "Scott s'est levé dans le vestiaire pendant la pause. Son discours a pris tout le monde aux tripes. Si vous aviez été là, vous n'auriez pas pu retenir vos larmes. Quand nous sommes revenus sur le terrain, nous étions prêts à renverser des montagnes." 45 minutes plus tard, West Ham repartait avec un nul (3-3). Parker fait partie de ces joueurs qui rendent une équipe meilleure non par leurs pures qualités footballistiques, mais par sa capacité à inspirer ceux qui l'entourent. "Scott vous donne envie de vous dépasser parce qu'il est toujours, lui, à 300%", reprend Cole.

Il y a encore quelques mois, sa carrière semblait pourtant au point mort. La jeune pousse prometteuse de Charlton n'avait pas donné les fruits espérés. La pire chose qui lui soit arrivé? Son transfert à Chelsea, en janvier 2004, deux mois après ses premiers pas en équipe d'Angleterre.. On le croit paré au décollage pour de bon, mais il va s'enterrer. "Il n'y était pas préparé", regrette Alan Curbishley, l'homme qui l'a lancé au plus haut niveau à Charlton. Ecarté par Ranieri puis par Mourinho, l'enfant de Lambeth ne s'est jamais senti à l'aise au milieu des stars de Stamford Bridge. Il finit par disparaître de la circulation et quitte les Blues au bout de 18 mois, direction Newcastle, où il ne restera que deux saisons, très correctes d'ailleurs. Mais c'est vraiment à West Ham qu'il va changer de dimension. "Il y a retrouvé un cadre plus proche de celui de Charlton, qui convient mieux à sa personnalité", reprend Curbishley.

Une deuxième vie en sélection?



Parker est effectivement ce qu'on appelle un "Family man". Son parcours fait un peu penser à celui, d'un Benoît Pedretti, révélé à Sochaux et revigoré à Auxerre après s'être égaré dans des "gros" clubs. Tel est le paradoxe de Scott Parker: enfant star à 13 ans, alors qu'il n'y a pas plus anti-star que lui. Car le gamin à la tignasse rouge qui jonglait dans son jardin en 1993, maillot du Three Lions sur le dos, pour une pub McDonalds, goûte davantage la discrétion que la lumière. Il préfère illuminer que flamber. A West Ham, chassant l'image trompeuse de cette lointaine publicité, il a enfin trouvé chaussure à son pied.

Ce titre de meilleur joueur de la saison, c'est évidemment une "magnifique consécration" comme il le dit lui-même. Il est d'autant plus à même de l'apprécier qu'il a pris les chemins de traverse plus que l'autoroute du succès qu'on lui prédisait voilà 10 ans. On ignore si West Ham pourra se sauver, d'autant que son héros, blessé au tendon d'Achille, n'est pas certain de pouvoir jouer ce week-end. Mais la carrière de Scott Parker, elle, est définitivement remise sur les rails. Même Fabio Capello, qui ne l'avait pas emmené en Afrique du Sud l'an dernier, s'en est rendu compte. Il l'a rappelé et même titularisé face au pays de Galles le mois dernier dans un match de qualification à l'Euro 2012. Parker, excellent, a peut-être signé ce soir là un bail longue durée avec l'équipe d'Angleterre, lui qui ne compte que cinq petites capes.

Alors, c'est vrai, il ne possède pas la vitesse d'un Bale, la technique d'un Ronaldo, la grâce d'un Henry ou la hargne d'un Rooney. Et il ne l'aura jamais. Mais il a pour lui un sens de l'éthique et de la modestie, un amour du combat et du maillot qui font de lui un joueur spécial. Peut-être pas le meilleur joueur de l'année, au sens où on l'entend généralement. Mais tellement exemplaire. Ces derniers mois, il a joué blessé, à plusieurs reprises. Il a même tenu sa place face à Tottenham, quelques heurs après le décès de son père. Parce qu'il donne peut-être la clé de la réussite de Parker, on laissera le mot de la fin à son entraîneur d'aujourd'hui, Avram Grant. Un ancien de Chelsea, lui aussi. Grant en a côtoyé, des stars, mais il retrouve chez Parker une salutaire simplicité. "Avec l'argent, dit le technicien israélien, certains oublient parfois qu'ils ont choisi le football juste parce qu'ils aimaient le jeu. Scott, lui, continue à entrer sur la pelouse comme s'il s'agissait de son premier match."

West ham descend en npower championship

Grant limogé

A peine la relégation de West Ham en Championship actée, le club londonien a pris la décision de se séparer de son manager Avram Grant. Un communiqué publié sur le site officiel des Hammers indique que Kevin Keen remplacera le technicien israélien pour la dernière rencontre de la saison en Premier League, le 22 mai prochain contre Sunderland. Pour rappel, West Ham a été battu dimanche par Wigan (3-2) et quittera la première division anglaise, six ans après l'avoir retrouvée...

Ba déclenche une bagarre

Une bagarre a éclaté lors du dîner annuel entre les fans et les joueurs de West Ham, après le refus de Demba Ba de signer un autographe à l'un d'entre eux.

A West Ham, on ne fait rien comme tout le monde. Le club est officiellement relégué en deuxième division anglaise depuis dimanche, mais a souhaité maintenir malgré tout le dîner annuel avec les fans. Tout ce beau monde s'est donné rendez-vous au Grosvenor House Hotel pour ce repas lundi. Pendant la soirée, un fan a souhaité que Demba Ba lui signe un autographe. Le joueur a refusé, prétextant qu'il était « fatigué »... Le fan n'a pas compris ni apprécié ce refus. Des quolibets racistes ont été lancés à l'encontre de Ba, ce qui a eu pour but de provoquer une bagarre générale dans la salle. La police a dû intervenir pour calmer tout le monde. Les joueurs sont ensuite partis par une porte dérobée

Le prix de la relégation

Qui dit relégation en deuxième division, dit réduction des coûts donc casse-tête financier.

Alors, pour éviter aux propriétaires de West Ham, David Gold et David Sullivan, de se perdre dans les chiffres, David Bick, président de Square 1 Consulting, interviewé par la Press Association Sport, a tenté de débroussailler la chose pour eux : « La perte de revenus liée à la relégation est comprise entre 50 et 60 millions d’euros. En plus de l’argent permis grâce à la diffusion des matchs, il y aura une perte due à la baisse des abonnements. La participation à la Premier League rapporte 55 M€ tandis que pour la deuxième division, on tombe à 16, soit une chute immédiate de 39 M€. Sullivan a parlé de prêts pour subvenir aux dépenses du club, mais cela ne ferait qu’aggraver leur situation. En définitive, s’ils ne montent pas l’année prochaine, leur position risque de devenir de plus en plus compliquée ».

Il faudrait peut-être appeler Gervais Martel. Il doit en connaître un paquet sur les dépenses liées à la relégation.

Di Canio offre ses services

Paolo Di Canio sera-t-il le futur entraîneur de West Ham ? Les récentes déclarations de l'italien, qui a joué quatre saisons chez les Hammers entre 1999 et 2003, parues ce mercredi sur le site du Sun, semble en tout cas l'indiquer: "Je crois que mon futur est en Angleterre. Dans les prochains jours, quelque chose va arriver, peut-être dans une division inférieure". Une allusion à peine dissimulée au club de Londres, officiellement relégué en Championship la saison prochaine et qui vient de démettre Avram Grant de ses fonctions d'entraîneur. "Je suis attristé par la relégation de West Ham. Cette équipe a toujours été dans mon coeur. Elle a des supporters uniques. Je ferais tout pour West Ham. J'ai même un tatouage des Hammers", a ajouté l'ancien attaquant. Voilà qui devrait suffire pour obtenir le poste...

Moi je fais des ptites bulles,des belles bulles que crache en l'air elle sont si belle vole jusqu'au ciel,comme dans les reves a la fin elle creve ,mais ou se cache donc la chance ça me met en trance,moi je fais des ptites bulles des belles bulles que j crache en l'air united united united

green street 3 return of the major

https://www.youtube.com/watch?v=2qm3aFr1Kos

Di Canio à Swindon Town

On l’attendait à West Ham, on le retrouve finalement trois divisions en-dessous. A Swindon Town.

Paolo Di Canio est, à compter d’aujourd’hui, le nouveau manager de ce club de D4 anglaise. Après avoir trouvé un accord avec le président il y a quelques semaines déjà, l’officialisation a été donnée par un communiqué, ce matin.

A 42 ans, il s’agit donc là d’une toute nouvelle expérience pour l’ancien de la Lazio Rome et de West Ham, qui était devenu depuis quelques saisons consultant pour Mediaset Premium. Il a battu la concurrence de Dietmar Hamann et George Burley pour ce poste. Il aura néanmoins fort à faire : la saison passée, Swindon Town a été relégué de la League One à la League Two.

Parker a le choix

Elu meilleur joueur de la saison en Premier League par les journalistes, Scott Parker ne devrait pas rester à West Ham, qui évoluera en Championship la saison prochain. Selon les médias britanniques, le milieu de terrain a le choix dans sa future destination. Arsenal, où Arsène Wenger apprécie son profil, Liverpool et dernièrement Tottenham le pisteraient en vue de la saison prochaine. Le montant d'un éventuel transfert s'élèverait à environ 5 millions d'euros.

De nombreuses bonnes affaires à saisir à West Ham


Vingtième et lanterne rouge au classement de la Premier League, West Ham a vécu une saison chaotique. Relégués en Ligue 2, les Hammers devraient laisser filer de nombreux cadres pour repartir sur un nouveau cycle. Et ce ne sont pas les bonnes affaires qui manquent, c'est un doux euphémisme.

En Ligue 1, le mercato estival devrait être marqué par la recherche de bonnes affaires à moindre coût. Joueurs libres de tout contrat ou à la veleur marchande faible, tous seront courtisés de tous les côtés. Mais cette remarque ne vaut pas que pour l’Hexagone et pourrait bien contaminer l’Europe toute entière, la faute à une crise économique qui est passée par là. Restriction budgétaire oblige, il va falloir se serrer la ceinture et se contenter de quelques recrues parfaitement ciblées. Et c’est dans ce contexte bien particulier que le Daily Mail a lâché en début de mois une information qui pourrait être lourde de conséquences.

En effet, la publication anglaise affirmait qu’en cas de relégation West Ham serait prêt à sacrifier au moins dix joueurs, et non des moindres. Désormais officiellement relégués en Championship (équivalent de la Ligue 2), les Hammers n’ont en effet pas vraiment d’autres alternatives que de se séparer de nombreux joueurs pour compenser cette perte sèche. Mais le club anglais ne compte pas laisser filer que des seconds couteaux et espère bien récupérer quelques liquidités en indiquant la direction de la sortie à de nombreux cadres. Alors, quelles sont les bonnes affaires à saisir ? Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles sont légions.

Scott Parker devrait ainsi faire ses valises. Élu meilleur joueur de Premier League par les journalistes, le milieu de terrain serait suivi de très près par Arsenal, qui pourrait profiter de l’aubaine pour rafler la mise. Demba Ba conserve lui aussi une cote intacte, puisque des clubs tels que Rennes, l’AS Roma mais aussi Chelsea lui font les yeux doux. Prêté par Tottenham, Robbie Keane devrait retrouver White Hart Lane avant d’être placé sur la liste des transferts, les Spurs ne comptant plus sur lui. Solide défenseur un temps annoncé à la Juventus Turin, Manuel Da Costa pourrait lui aussi prendre la poudre d’escampette.

Enfin, concernant la Ligue 1, de vieilles connaissances pourraient retrouver l’Hexagone. Si Frédéric Piquionne n’a pas eu énormément de contacts ces dernières semaines, Herita Ilunga avait pour sa part été dans le viseur de l’AS Monaco cet hiver et pourrait donc à nouveau être pisté. Vous l’aurez donc compris, nombreux sont les joueurs au profil intéressant à être sur le marché suite à la descente en Championship de West Ham. Bien des clubs devraient en profiter. Car comme le veut l’adage : le malheur des uns fait le bonheur des autres.

West Ham veut McLeish

Scott Parker élu meilleur joueur de Premier League, c’est le seul point positif de la saison de West Ham. Après avoir limogé l’entraîneur Avram Grant, les propriétaires du club David Gold et David Sullivan cherchent un nouveau coach pour l’équipe, reléguée en deuxième division.

Les Hammers sont sur la piste de l’ancien coach d’Aston Villa Martin O’Neil et Sam Allardyce, ex-entraîneur de Blackburn. Mais leur priorité, selon le Daily Star, reste le coach de Birmingham Alex McLeish. Birmingham City est également relégué, mais jouera l’Europa League grâce à sa victoire en Carling Cup (l’équivalent de notre Coupe de la Ligue). De quoi changer légèrement la donne...

Katy Perry fan de west ham